30.12.15

Médiatrice culturelle... ENFIN !

Après des années de bénévolat, de service civique, de stages... me voilà enfin (depuis septembre 2015) médiatrice culturelle en CDI à temps plein. Et dans une scène nationale !
J'ai ouvert ce blog il y a bientôt un an : https://recherchesenmediationculturelle.wordpress.com/.
Mon nouvel emploi me permet de l'alimenter de manière plus concrète !

John White Alexander - Repose

Repose, John White Alexander, 1895, Met Museum
Depuis toujours je m'ennuie de l'art d'avant 1900/1910, tant en peinture qu'en musique... Mais depuis quelque temps... revirement de situation ! Ça a commencé il y a un an tout juste, grosse période de stress. Pleine période d'exam et de création d'association (avec un niveau de compétences proche de zéro). Je ne savais plus comment gérer ce stress. Je travaille beaucoup en musique. En général je mets des "mix" sur Deezer, selon mes goûts (trip hop, old school...). Là, tous les mix m'agaçaient. Désemparée, j'ai tapé "musique pour s'apaiser" ou quelque chose comme ça. Le flot des vagues et le chant des oiseaux, au secours. Par contre, je suis tombée sur plusieurs morceaux classiques, au piano notamment. J'ai toujours aimé le piano. Youtube propose des morceaux de plus d'une heure "pour travailler". Parfait. Ça marchait. Le stress partait petit à petit. Je me suis alors mise à redécouvrir mes classiques, Beethoven, Mozart, Casse-Noisette, Le lac des cygnes... un régal ! C'était gagné pour la musique, pas encore pour la peinture.
Je suis sur Instagram depuis quelques mois. Abonnée au MetMuseum, il y a quelques jours, je tombe sur cette peinture. Je m’émeus. Magnifique. Cette attitude. Ces courbes. Cette robe. Cette magnifique robe. Ce blanc et ce noir. Je ne me lasse pas.
Je ne connaissais pas ce peintre. Ses peintures de robes sont renversantes.
Deezer, Instagram, Youtube, Facebook... Internet... Un vrai potentiel de découvertes culturelles !

16.8.15

Ô Mon Château !

 


Suite à mon article sur les châteaux en Val de Loire, je vous présente un nouveau blog qui "va vous faire aimer les vieilles pierres" : Ô Mon Château !

Ô Mon Château ! vous fait découvrir... des châteaux ! Et pas qu'en Val de Loire !
A l'origine de ce site ? Elodie, une de mes collègues de stage dans le château de la Loire dans lequel je travaillais. Elodie est une vraie mordue d'Histoire et de châteaux !
Elle a concocté une liste de "Châteaux à voir" et coche au fur et à mesure les châteaux qu'elle visite.
Un article est consacré à chacune de ses visites, elle décrit le lieu, la visite, donne des éléments historiques, nous parle de l'architecture, nous conseille sur les visites des environs et offre toutes anecdotes relatives au lieu ou à l'Histoire.
Encore un point fort ? Ses photos ! Elle sait cadrer les détails et retenir l'émotion d'un lieu.
Un exemple ci-dessous au château de Chenonceau :



Pour en voir plus il faut visiter son site !

Elodie, c'est aussi un compte Instagram d'un rare esthétisme : elodie.fl

Visites de châteaux en Val de Loire

Je passe mes derniers moments en Touraine et profite donc des visites de sites touristiques...

Château d'Azay Le Rideau
Château d'Ussé
Château de Villandry
Villandry
Maison de François Rabelais - La Devinière à Seuilly
Château du Clos Lucé, Amboise
Château de Blois
Château du Lude
Avant d'emménager en Touraine je n'étais pas du tout "château", de mon souvenir, en 24 ans j'en avais visité un seul : celui de La Roche Courbon en Charente-Maritime. L'Histoire n'est pas mon fort et admirer le patrimoine bâti en passant me suffisait. Mais en avançant dans mon intérêt pour la médiation culturelle, j'avais envie de creuser cet aspect. C'est en partie pour cette raison que j'ai eu envie d'effectuer mon stage dans un château de la Loire. Mon intérêt devenant croissant, j'en ai alors profité pour visiter plusieurs lieux patrimoniaux du Val de Loire :
- Château du Rivau
- Château de Villandry
- Château d'Ussé
- Château de Chenonceau
- Château de Langeais
- Château de Blois
- Domaine de Chaumont
- Château du Clos Lucé
- Château du Lude
- Château d'Azay Le Rideau
- Maison de Rabelais - La Devinière
- Château de Cinq Mars La Pile
- Château de l'Islette

(Dans les lieux que je n'ai pas encore visité et que j'aimerais faire : Forteresse de Chinon, château de Brézé, Abbaye de Fontevraud,...il semblerait qu'il me manque également : Chambord, Sully sur Loire, Cheverny, Valençay, Angers...)

Quel bilan j'en retire ?
Le minéral, je n'en peux plus ! :) Je suis sans conteste une "végétal", je ne me passerais jamais de verdure, d'un beau paysage, d'une simple promenade bucolique, tandis qu'une visite patrimoniale semble être un "effort" pour moi : supporter la foule de visiteurs, "protocole" de billetterie/paiement/barrière, plan et circuit de visite défini... Les visites que j'ai préféré sont d'ailleurs celles qui ont un beau parc fleuri (avec un gros coup de coeur pour le Clos Lucé et la mise en scène dans le parc des toiles de De Vinci !)
Plus positivement, je suis ravie d'avoir découvert ce patrimoine bâti français exceptionnel qui m'a donné goût à l'Histoire (coup de coeur pour Blois pour cela qui permet de traverser 4 époques différentes !) et plus spécifiquement envie d'aller fouiller un peu plus loin dans l'Histoire des rois de France.

7.6.15

Humeur

"Rien n’est plus puissant qu’une idée 

dont l’heure est venue"

Victor Hugo

20.5.15

Si tu veux connaître quelqu'un 
n'écoute pas ce qu'il dit 
mais 
regarde ce qu'il fait.
Dalaï Lama

10.5.15

Château de Cinq Mars La Pile

J'habite à Cinq Mars La Pile depuis Septembre 2014.
J'ai visité le château pour la première fois ce dimanche 10 mai 2015.
Une bulle d'apaisement.
En passant devant on ne se rend pas compte de ce qu'y se trouve derrière. Pas même en visitant le site internet. La visite est bien supérieure à la communication qui est faite.
C'est le peintre Nicolas Untersteller (ancien directeur des Beaux-Arts de Paris) qui a acheté ce château en 1957, aujourd'hui c'est son fils Louis-Paul et sa femme qui en sont propriétaires. Les propriétaires, très simples, sont disponibles pour nous en dire plus sur leur propriété et leur histoire. La visite de l'atelier est un régal pour les âmes d'artistes.


Voyez ce petit reportage (tout en bas de la page) !





 



30.4.15

Trop intelligent pour être heureux ? L'adulte surdoué de Jeanne Siaud-Fachin

C'est aujourd'hui adulte que je prends conscience d'un tas de choses qui rythment ma vie. Un tas de choses positives, joyeuses mais parfois pas du tout. Comme le fait de penser trop et trop vite (il y a un livre à ce sujet, Je pense trop : comment canaliser ce mental envahissant ?, moi j'ai choisi Trop intelligent pour être heureux ? par rapport à certains commentaires qui me semblaient plus correspondre), d'avoir cette sensation inconfortable de vertiges, de malaise, l'impression que si on continue de penser autant on va tomber dans les pommes ; comme le fait de se sentir incompris, de ne pas avoir les mêmes canaux de communication...
Quand on comprend enfin qu'on est vraiment différents, qu'on raisonne différemment, que nos pensées vont plus vite que les autres... quand on comprend, ça va mieux, on peut avancer, travailler sur des points précis de nos particularités.
J'ai toujours compté 3 par 3. "3 et 3 -> 6 et 3 -> 9 et 3 -> 12 et 3 -> 15, 18, 21...". Si on me présente une liste tiret par tiret je vais rassembler les éléments par 3 quand les autres comptent tout par 2. Je ne comprenais pas pourquoi on nous faisait ranger 2 par 2 à l'école, comment les profs arrivaient à compter "2, 4, 6, 8...".


Lecture 

p.31 : Sur le déficit de l'inhibition latente. "Par exemple si nous entrons dans un endroit, son odeur va nous marquer, puis disparaitre. Le cerveau l'a rangée dans la catégorie "pas utile" et la met de côté ! La même chose se passe pour les bruits : le tic-tac d'une horloge peut vous agacer, puis il semble se taire, se fondre dans le décor, c'est l’inhibition latente qui a oeuvré et a classé cette information comme secondaire."
-> En lisant je me suis dit "Mince là je ne me reconnais pas du tout".
Puis j'ai poursuivi la lecture : "Ce 'tri automatique' ne s'enclenche pas dans le cerveau du surdoué qui se retrouve face à une multitude d'informations qu'il doit traiter 'manuellement'. [... ] il reste aux prises avec toutes les émotions et sensations associées."
-> Récemment j'ai emménagé dans une petite maison pour mon stage dans laquelle il y avait un affreux tic tac, je me suis levée j'ai enlevé la pile et j'ai mis l'horloge dans une valise tant j'étais mal. J'ai une intolérance au bruit très forte, par certains moments je peux en pleurer de fatigue sans m'en rendre compte.
p.39 : Proposer aux surdoués d'expliquer comment il sait. "Parce que c'est évident." "Mais encore ?" "Parce que je le sais, c'est tout.". Il ne sait pas comment il le sait, ni pourquoi. On appelle ça l'intelligence intuitive.
-> Il y a un tas de choses comme ça que je sais mais je ne sais pas pourquoi je le sais. Parfois je me dis que j'ai forcément dû le voir ou le lire quelque part, parfois ça me semble juste logique, évident, pourtant ça n'a d'évidence pour personne. Avant de comprendre que c'est moi qui suis intuitive, je pensais que les autres avaient vraiment un souci de ne pas comprendre ce dont je parlais.
-> En maths ça a toujours été vraiment bizarre. Au collège et lycée je pouvais avoir 4/20 comme 20/20 et j'avais au final plutôt une bonne moyenne. Certains exercices me paraissaient couler d'évidence, tout allait d'ailleurs trop vite, j'avais le résultat avant le raisonnement et j'étais épuisée de devoir écrire le raisonnement (hé oui ça comptait dans la note). En parallèle certains exercices me dépassaient totalement, je n'arrivais franchement pas à les comprendre, mes efforts étaient vains. En seconde j'ai eu une prof de maths qui m'a dit "M., tu as un potentiel énorme.". J'ai ri. Et puis j'ai compris. Elle m'a aidé à comprendre que non je ne suis pas nulle en maths mais j'ai une logique différente pour travailler. J'ai un rapport aux chiffres omniprésent. J'ai une mémoire des chiffres parfois hallucinante, je fais des associations de chiffres étonnantes, je ne sais pas comment je retiens les chiffres des départements, je les connais c'est tout. Dès qu'il y a des chiffres je peux me souvenir des éléments autour. Aussi il faut que je compte tout, tout le temps "si je fais 90 kilomètres par jour et que ça me coûte 0.06€ le km, ça me revient à combien par jour ? et donc sur une semaine de travail ? Et sur un mois ? Et ça fait combien en pourcentage de ce que je gagne par mois ?" Ce n'est pas une question de budget, de radinerie, je veux juste savoir, j'ai juste besoin de calculer, de faire fonctionner les chiffres dans ma tête.
Dans mes différents jobs j'ai souvent tenu une caisse. Je ne me sers jamais du rendu monnaie, je sais combien je dois rendre. Je ne sais pas soustraire avec la méthode basique que j'appelle "d'autrefois", celle qui consiste à "remonter" du montant dû vers la somme donnée. J'ai ma manière pour raisonner. En gros souvent ça donne ça en exemple : on me doit 12€80 et on me donne 20€, ça fait 20-12 = 8 mais comme je sais que c'est plus que 2 ça fait 7 + les 80 centimes - 100 = 20 centimes donc 7€20. Bien sûr c'est extrêmement rapide dans ma tête. Et parfois ce calcul ne se fait même pas, je rends la somme juste par ce que je sais que c'est ça. J'imprime en fait 2 images dans ma tête : 20 et 12,80 et je sais qu'entre les deux il y a 7,20.
Pour les prénoms et noms des gens qui m'entourent c'est pareil. Je sais qui est qui, j'associe facilement nom, prénom, statut et lieu, aujourd'hui c'est un atout énorme dans ma vie car je suis responsable d'une association et pouvoir citer les noms des partenaires rencontrés est un avantage de grande importance.

p. 46 : La perception intensive de tous les sens.
On se moque toujours de moi parce que je trouve des goûts à tout. Une anecdote de moquerie dans ma famille persiste : un jour j'ai trouvé que la purée avait le goût d'huître, tout le monde s'est ligué contre moi pour se moquer, je continue à camper sur ma position et me rends compte de plus en plus que ces petits goûts que je trouve un peu partout c'est simplement parce que mes sens sont exacerbés.

p. 52 : "Il est rare que les surdoués parlent de cela car, comme pour beaucoup d'aspects de leur personnalité, ils ignorent que les autres ne vivent pas la même expérience."
-> A force de bouger, déménager, avoir de nouvelles expériences professionnelles, rencontrer de nouvelles personnes, discuter... je me rends compte que beaucoup de choses que je vis et je ressens sont totalement différentes des autres.
Je ne parle pas de tout ça, j'en parle avec mon ami parce que j'ai réellement pris conscience de ça au moment où on commençait notre relation et qu'il m'a bien épaulé, suivi. J'en parle également avec une autre connaissance (qui est malheureusement loin) car elle est comme moi mais pour le reste, je n'ai pas envie d'en parler. Peur de la moquerie, du déni, d'être encore plus incompris, peur d'être considérée différemment en l'avouant. Et puis comment le prouver ? On nous dit juste "Mais t'es trop bizarre" "T'as aucune logique" "Ça tourne pas rond là-haut", "T'es complètement folle"... Pendant un temps j'ai même pensé à l'autisme, je regardais toutes les formes qui existaient pour voir. Aujourd'hui avec ce livre que j'entame, je me trouve.

Hier, j'ai éclaté de rire à la page 175. Je l'ai lu à mon ami qui a bien rigolé aussi.
"Pousser les discussions jusqu'au bout du bout..."
"C'est aussi quelquefois dans ce contexte qu'un surdoué va pousser les limites de la discussion. Sans relâche. Pour aller jusqu'au bout. Pour tenter de cerner le sens précis des choses. Sans équivoque. Sans flou. Pour être sûr. Ou au moins s'approcher de la réalité. Quand on discute avec un surdoué, on se retrouve embarqué dans des discussions illimitées dans lesquelles aucun argument ne semble avoir prise. C'est épuisant et parfois incompréhensible pour l'autre. Comment peut-on tout remettre en question ? Tout le temps ? Et ne pas se contenter d'explications pragmatiques ou d'arguments habituellement acceptables. Mais pas par eux. Jamais."
J'en ris encore !! Mon ami n'en peut plus de mes questions avant de s'endormir, de nos discussions à rallonge où je demande preuve etc. Heureusement on en rit car il y a internet pour veiller à trancher :D mais parfois je crois que ça l'énerve vraiment vraiment. Moi pas. Car je veux vraiment savoir.


25.4.15

Répertoire alternatif, ESS (Economie Sociale et Solidaire), innovation sociale...

Quelques sites pour commencer à brosser ce qu'on entend par alternatif, ESS, innovation sociale, entrepreneuriat social...
Mouves : MOUVement des Entrepreneurs Sociaux 
+ une vidéo sur les femmes entrepreneurs 

Lilo: le moteur de recherche qui finance des projets sociaux

Social 3.0 : soutenir les jeunes entreprises sociales

MrMondialisation / Page facebook de MrMondialisation (très animée) : Think tank informel et citoyen francophone à visée internationale. Son objectif principal est d’alimenter le débat libre dans la sphère publique autour des grands sujets mondiaux et locaux de notre temps.

Le Labo de l'Ess : Think Tank destiné à faire (re)connaître une économie plus respectueuse de l’Homme et de son environnement
http://www.side-ways.net/ :

Crésol : Réseau d'Economie Sociale et Solidaire en région Centre

Le MES : Mouvement pour l'Economie Solidaire

Kaizen Magazine: un magazine alternatif "100% positif pour construire un autre monde pas à pas"

Génération Cobayes : "Nous sommes un mouvement de jeunes consommateurs qui ne veulent pas être pris pour des c... cobayes"

Bastamag : Basta ! est un média indépendant centré sur l’actualité économique, sociale et environnementale.

[à compléter]

Parce que les projets alternatifs se multiplient, parce qu'une prise de conscience est en train d'éclore, refusez les critiques faites à vos utopies, croyez en vos rêves !

14.4.15

Thomas Lamadieu - Roots Art Photographie

Vu sur MrMondialisation :

"Photographe et illustrateur français, Thomas Lamadieu signe une collection d’illustrations atypiques où le ciel devient une page blanche laissant libre court à une imagination débordante.

Thomas Lamadieu aime allier la photographie urbaine et les illustrations ludiques de qualité. Quand la plupart des gens lèvent les yeux pour contempler le ciel au beau milieu de la ville et de ses bâtiments, lui, perçoit l’environnement urbain comme autant de toiles vierges et l’utilise pour nous offrir des illustrations originales.

Les photographies prises donnent un effet panoramique où les bâtiments découpent le ciel en autant de formes géométriques diverses qui vont lui servir de pages blanches. Cette volonté de montrer une perception autre de l’architecture urbaine s’inscrit directement dans sa démarche artistique d’augmentation de l’horizon conceptuel."


 

8.3.15

Cornelia Schleime


Tous les dimanches à 11h15, Arte programme l'émission Metropolis. Elle est ensuite disponible sur Arte+7.

Ce matin, dimanche 8 mars, c'est un "Spécial journée de la femme".
Grande amatrice d'art, je découvre un court reportage sur Cornelia Schleime.

Résumé
"Cornelia Schleime est une touche-à-tout. Elle a déjà été maquilleuse et coiffeuse, s’est occupée de chevaux et a écrit deux romans. Mais ce sont ses portraits de femmes en grand format qui l’ont rendue célèbre.
Sous le régime est-allemand, elle interrogeait déjà le féminisme et la situation de la femme dans la société moderne. En 1979, sa participation à une exposition collective devenue légendaire lui vaut les foudres des autorités qui lui interdisent alors de montrer ses œuvres.
C’est ainsi qu’elle gagne l’Allemagne de l’Ouest.
Aujourd’hui, Cornelia Schleime est une des peintres les plus connues outre-Rhin. Elle expose à Paris, Moscou ou Londres. Metropolis lui a rendu visite dans son atelier près de Berlin."
par Tita von Hardenberg

Dans son oeuvre, je retrouve un peu d'Egon Schiele, un peu de Marlène Dumas, un peu de Françoise Petrovitch, un peu de Kiki Smith... bref un peu de tous les artistes que j'aime !

Ein Mädchen, ein Hase, ein Kuss, 2005, 58x77cm

Bernsteinkleid, 2011. Encre, aquarelle sur papier fait main. 57 x 38 cm


Monotheist, 2005, 58x77cm

Havanna, 1998 160x200cm

19.2.15

Culture Touch : l'hebdo culturel pour tablettes numériques

En Octobre 2014, j'ai sauté un pas dans l'ère numérique.
J'ai reçu en cadeau de la région Centre une tablette numérique, offerte à tous les étudiants en Master  !
Sur le coup je ne savais pas quoi en faire ni comment m'en servir. C'est mon premier objet tactile.
J'ai installé des "applis" nulles (genre Candy Crush ou Angry Birds).
Et puis je suis devenue plus à l'écoute des sorties des applications qui pourraient vraiment m'intéresser. Plusieurs fois en regardant Arte, j'ai vu la publicité pour l'application "Culture Touch", je me suis laissée séduire. J'ai vraiment bien fait !

-> "Culture Touch, c’est, chaque vendredi, un bel aperçu en photos et en vidéos de l’actualité culturelle en Europe et dans le monde. Interviews exclusives, reportages, chroniques… les contenus de Culture Touch sont issus des magazines, des documentaires, mais aussi des journaux et offres web de la chaîne, ils couvrent tous les genres : de l’opéra à l’électro, de la danse classique au hip hop, de la peinture au street-art, du cinéma au jeu vidéo, sans oublier la littérature…"


Alors si vous aussi vous avez une tablette, sautez le pas !

Cette semaine, grâce à cette application, j'ai découvert une chouette série animée en 13 parties intitulée "L'opéra, quelle histoire ?!". Un article paraîtra sur mon blog Recherches en médiation culturelle.

6.2.15

Visite monuments de Tours


Vendredi 30 Janvier
De 14h à 16h, j'ai eu le temps de visiter...

Les expositions du Château :
Photographies de Nicolas Muller, "Traces d'un exil" et toiles gigantesques au stylo bille et au Posca de Cécile Bisciglia, "Cabinet de fragilités".

Le Musée des Beaux-arts :
une foule de visiteurs pour l'exposition "Dans la lumière de l'impressionnisme" d'Edouard Debat Ponsan.

Le Cloître de la Psalette :
Il fait partie des Centres des Monuments Nationaux, avec son escalier mini réplique de celui de Blois !

et la cathédrale Saint Gatien

14.1.15

Recherches en médiation culturelle

Je me lance en parallèle de ce blog dans un nouveau site pour m'adapter à l'environnement de wordpress et poster mes réflexions, découvertes et pratiques sur la médiation culturelle.

12.1.15

Artips, une dose d'art au quotidien


Artips permet de recevoir trois fois par semaine une anecdote sous forme de newsletters sur une oeuvre de l'histoire de l'art.

"Coline Debayle et Jean Perret, les créateurs de l’entreprise, proposent un nouveau genre d’histoire de l’art pour les nuls. Un contenu original et de qualité, que l’on peut lire sur son smartphone ou son ordinateur en une minute à peine : c’est le pari d’Artips. La volonté des jeunes entrepreneurs est de démocratiser l’art et son histoire, sans pour autant tomber dans la vulgarisation. Avec cette fenêtre sur le savoir, la newsletter devient « un petit rayon de soleil culturel de la journée », explique Coline Debayle :
« Je voulais créer un contenu que l’on peut lire entre un article du Monde et une “VDM”, simplement et rapidement. » " (Article sur rue89.)


Voici un exemple avec l'oeuvre d'Édouard Manet, Un bar aux Folies Bergère, 1881-1882, Huile sur toile, 96×130cm, Courtauld Institute of Art : "La double vie de Suzon" Où l'on s'intéresse à Suzon, une serveuse des Folies Bergère.